Parce que chaque année, un grand nombre de femmes sont forcées de quitter leur domicile précipitamment avec leurs enfants. Elles quittent pour mettre fin à la violence vécue, la peur au ventre, et se retrouvent en maison d’hébergement, avec presque rien.

« On a besoin que le système judiciaire se mette en marche lorsqu’on dénonce des situations. On a besoin d’être regardées au même titre qu’une femme québécoise. On a besoin d’être considérées comme des êtres humains ».

Alors qu’ils avaient pour mission d’incarner le contre-
pouvoir des décisions administratives, les commissaires ont préféré jouer le jeu de la conscience politique des directions générales.